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En Promenant Mon iPhone dans Trois-Rivières

Installé depuis peu dans la Cité de Laviolette, j’en explore jour après jour tous les secteurs.
Et je tombe lentement amoureux de cette ville et de ses gens.
Ce blogue se veut un humble récit illustré de mes découvertes et impressions.



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Archives
19 août 2015

Le Parc des Chenaux

Le Parc des Chenaux au Cap-de-la-Madeleine vaut un petit détour. Jouxtant le Centre culturel Pauline-Julien, il est un oasis de verdure et d'eau. Sa mise en valeur a encore de beaux jours devant lui...

Parc des Chenaux

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10 août 2015

Saint-Lazare

Je ne veux rien enlever à la splendeur monumentale du Sanctuaire du Cap-de-la-Madeleine mais dans ce secteur, je préfère le charme discret et villageois de l’église Saint-Lazare.

St-Lazare1

 

En ce début de millénaire, dans le contexte dune « révolution tranquille » qui continue d’avoir ses conséquences, même cinquante plus tard, on voit bien que les églises paroissiales sont vouées à la disparition de leur vocation, les unes après les autres. Devrait-on sen attrister ? Les débats dureront encore longtemps, je crois bien.

 

St-Lazare2

 

En ce qui concerne Lazare lui-même, il aurait été un proche de Jésus, que ce dernier aurait ressucité quatre jours après sa mort...

Ce serait bien que certaines églises québécoises, témoins d'une architecture et d'un passé pratiquement oubliés, et vouées ultimement au pic des démolisseurs, puissent un jour connaître le sort de ce saint, et donc avoir droit à une deuxième vie.

Dans notre histoire récente en tant que peuple, les croyances révolues sont une chose. L'architecture et le mobilier urbain qui sont encore debout pour témoigner de cet attachement identitaire, en sont une autre. Les coûts inhérents à la préservation de ce patrimoine devraient quand même, il me semble, mériter une petite part des investissements urbains des différents paliers de gouvernement.

Oui, ça coûte cher, la mémoire. En Europe pourtant, l'argent dépensé pour la conservation et la restauration des monuments et églises, fait la fierté des résidents, autant que le bonheur des touristes.

Pensons-y.

 

 

10 août 2015

Belles voitures d'autrefois

Toujours dans le même secteur, voitures d'une autre époque.

 

Auto

Auto2

4 août 2015

Rues Jean-Nicolet et Nicolas-Perrot

Jean-Nicolet

Jai toujours eu un faible pour les allées bordées darbres matures.

 

Ainsi, lorsque jai découvert la rue Jean-Nicolet, elle est devenue automatiquement et naturellement lune de mes rues préférées de Trois-Rivières. Comment résister ?

 

Du reste, tout le secteur est enchanteur et plaisant. La rue Nicolas-Perrot, notamment.

Nicolas-Perrot

Certains résidents font preuve de finesse architecturale...

Nicolas-Perrot2

 ou carrément dexcentricité ! 

Nicolas-Perrot3

30 juillet 2015

Rue Bonaventure

Bonaventure2

Tandis que nous venons de parler du Vieux Trois-Rivières, la rue Bonaventure est immanquable.
 
Plusieurs anciennes demeures bourgeoises subsistent sur sa partie sud. À mesure quon la remonte, larchitecture fait place à des unités dhabitation ouvrières ou façades commerciales, moins pimpantes disons, mais caractéristiques du centre-ville.
 
Jy reviendrai  dans ce blogue, jentends !

Bonaventure1

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29 juillet 2015

Incontournable Vieux Trois-Rivières

Lune des multiples raisons qui m’ont amené à Trois-Rivières est la présence dun quartier historique digne de ce nom. LHistoire me nourrit chaque jour: lhistoire du monde, lhistoire du Québec et lhistoire de lendroit où jhabite.

Vieux1


Le Vieux Trois-Rivières est mignon. Quand on dit « mignon », on parle habituellement de quelque chose ou de quelquun qui nest pas forcément grand, comme un bébé par exemple. Forcément, si on le compare au Vieux Québec, le Vieux Trois-Rivières est mignon... Plus petit mais adorable. Il ne sagit quand même pas dun poupon: il a même été établi avant la bourgade de Ville-Marie !
 
Si Québec fêtait son quatrième centenaire en 2008, Trois-Rivières navait sans doute pas le goût de fêter la même année le centenaire du fameux incendie de 1908, qui rasa une grande partie de la vieille ville. Au moins 800 bâtiments auraient été consumés. Le récit de cette conflagration, outre le triste sort du très grand nombre de sinistrés jetés à la rue, nous laisse aujourdhui songeur sur lapparence quaurait la vieille ville daujourdhui, si cet événement avait pu être évité.
 
À ce sujet, on raconte quen 1912, quatre ans après le désastre:
 
(…) le centre de Trois-Rivières n'offrait plus du tout le même visage. Le feu avait pour ainsi dire fait table rase du passé architectural pour provoquer l'entrée de cette partie de Trois-Rivières dans la modernité grâce, lit-on dans l'Histoire de la Mauricie, à une uniformité architecturale, dont les témoins sont très nombreux encore aujourd'hui.
 
Quoi quil en soit, des vestiges de la Nouvelle-France et du XIXième siècle sont encore visibles et le tout forme une entité tellement charmante.
 
Et mignonne.

Vieux2

28 juillet 2015

Un monde fou

Centre-Ville

Quand j’ai vu pour la première fois la banderole « Le monde est fou » sur la rue des Forges, dans un décor animé de terrasses et de passants, je savais qu’il s’agissait d’une publicité pour le tout premier spectacle de l’histoire de l’amphithéâtre Cogeco.

N’empêche que ce slogan-titre de chanson me transportait vers la vocation récente de la ville de la poésie. Un touriste qui ne connaitrait pas les chansons de Beau Dommage en tirerait des conclusions sur la douce folie d’une ville émergeant de sa soif de vivre.

Sages-Fous

Toujours au centre-ville, le quartier général d’une entreprise théâtrale dont le nom évoque la même douce folie...
26 juillet 2015

Bienvenue à Trois-Rivières

ville_histoire

"Trois-Rivières: Ville d'histoire et de culture".

Voilà qui me rejoint et annonce de belles découvertes. Félix aurait même décrété en 1985 que Trois-Rivières était la capitale de la poésie.

Pourtant, de mauvaises langues me répétaient depuis longtemps qu'elle était essentiellement une ville industrielle, la réduisant à une ville d'ouvriers -- du reste, ce n'est pas forcément un défaut pour un fils d'ouvrier comme moi. Comme si culture et populaire ne pouvaient s’accorder ensemble...

Laissant de côté les préjugés, je suis donc en mode reconnaissance -- dans tous les sens du terme -- pour cette cité qui m'accueille gentiment !
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